Immobilier : les raisons d’investir aux Belleville
- Foncia Tarentaise
- 27 mai
- 3 min de lecture
Entre prestige international, diversité de l’offre, potentiel de valorisation et solidité du marché, les Belleville cochent toutes les cases pour un investissement réussi en 2025.
Un domaine skiable hors normes
Les Belleville, c’est l’un des joyaux du domaine des Trois Vallées, le plus grand domaine skiable du monde, avec 600 kilomètres de pistes entre 1 300 et 3 230 m d’altitude. Que ce soit à Val Thorens — la station la plus haute d’Europe — ou aux Menuires, l’ensemble du secteur offre un enneigement exceptionnel, sur près de la moitié de l’année… De quoi attirer des touristes du monde entier. Un argument de poids, donc, pour ceux qui hésiteraient encore à investir dans les Alpes. « Grâce à son altitude élevée, Les Belleville ont de quoi rassurer les acquéreurs en termes d’enneigement, d'autant plus que le réseau de neige artificielle est très structuré pour assurer les débuts et fin de saison », explique Laetitia Borrel, négociatrice en immobilier chez Foncia Belleville.
Un marché immobilier très solide
Alors que de nombreuses régions subissent une stagnation ou une baisse de prix, les Belleville continuent de séduire les acquéreurs solvables. « Il y a peu de biens en vente, la rareté participe toujours à la hausse des prix », ajoute Laetitia Borrel. Avec jusqu’à 50 % des achats financés comptant, la vallée attire une clientèle patrimoniale peu exposée aux taux d’intérêt. À Saint-Martin-de-Belleville, les prix oscillent entre 7 et 8 000 €/m² dans l’ancien et atteignent 15 000 €/m² dans le neuf, tandis qu’aux Menuires ou à Val Thorens, on observe une demande croissante pour les T2 et T3 confortables, devenus rares et très recherchés. « Quoi qu’il en soit, investir ici, c’est sécuriser son patrimoine dans un marché haut de gamme. »
Plusieurs villages, divers profils d’investisseurs
« L’un des atouts majeurs des Belleville est la complémentarité des secteurs, chacun répondant à une typologie d’acquéreurs différente », expose Laetitia Borrel.
Saint-Jean-de-Belleville, en bas de vallée, joue le rôle de marché de report. Avec des prix encore accessibles (entre 3 500 et 4 000 €/m²), elle attire les locaux en quête d’un cadre de vie agréable mais aussi une clientèle secondaire séduite par le mode de vie « quatre saisons ». On y trouve surtout des maisons de villages ou des chalets d’une centaine de mètres carrés.
Les villages alentour comme Villartier, Saint-Laurent de la Côte ou Le Mas, plus confidentiels et moins développés, recèlent un potentiel de valorisation important. Le bâti y est typique et ancien, parfois difficile d’accès, mais plein de charme alpin. Des opportunités à surveiller de près pour les amateurs de réhabilitation.
Saint-Martin-de-Belleville, C’est une vraie carte postale : ruelles en pierre, vie de village et remontées mécaniques vers le domaine des Trois Vallées. « Le prestige du lieu a fait exploser les prix, surtout dans le neuf (jusqu’à 15 000 €/m²), mais la demande reste forte, notamment pour les logements de standing dotés de piscine, spa ou salle de cinéma », ajoute Laetitia Borrel.
Autour de Saint-Martin, les hameaux comme Villarabout ou Saint-Marcel ont suivi le même élan. À moins d’un kilomètre des pistes, ils affichent des tarifs légèrement inférieurs à ceux du cœur du village (entre 7 et 8 000 €/m²), avec un grand choix de biens à vendre, et une concurrence entre vendeurs qui peut ouvrir la voie à des négociations.
Enfin, les incontournables Menuires et Val Thorens complètent le tableau. Les Menuires misent sur une ambiance familiale : architecture années 70, accès skis aux pieds généralisé, 2-pièces cabine autour de 6 500 €/m². Tandis que Val Thorens joue la carte du « sport chic » à haute altitude, avec un parc de petits appartements (20 à 40 m²) rares et très prisés, au tarif premium (entre 9 et 11 000 €/m²).
Bon à savoir
« Si vous souhaitez à tout prix obtenir un pied-à-terre sur le secteur des Belleville, mais que le budget est serré, vous pouvez cibler les reventes d’appartements sous bail commercial. Ils sont 30 à 40 % moins chers que sur le marché traditionnel, en contrepartie d’un nombre de semaines d’occupation limité. Cela peut être le bon moyen d’acheter un T2 ou un T3 abordables, de profiter de la station et de s’assurer un revenu complémentaire. »
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